
George Floyd, de son nom complet George Perry Floyd Jr, né le 14 octobre 1973 à Fayetteville dans l'État de Caroline du Nord, est un Afro-Américain, tué par la police lors de son arrestation le 25 mai 2020 à Minneapolis, dans l'État du Minnesota, pendant laquelle un policier, Derek Chauvin, le maintien menotté et en plaquage ventral avec son genou sur sa nuque durant plus de huit minutes, l’empêchant ainsi de respirer. Les images de son arrestation et la nouvelle de sa mort mènent à une vague de protestations aux États-Unis et dans d'autres pays du monde.
Vague d’indignation mondiale
Manifestation Québec 2020





































































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L’éco de cette nouvelle se propage aussi rapidement que l’obscurité qui envahi les écarts. Les profils se noircisse à une vitesse fulgurante. Il n’est même pas encore midi, le lendemain qui précède la meurtrière arrestation, que tout est noir. Je fais dérouler le fils d’actualité Facebook suivi Instagram. L’obscurité est complète! Ce noir se défile et défile, il n’y a que le noir!
J’ai le souffle court. Cette noirceur me percute si fortement. Elle me parait être l’ensemble de tout ce qui a été dit, dénoncé, pleuré, crié, manifesté, réclamer, protesté que l’humain noir à le droit divin d’existé comme un égal. Ce noir était pour moi, tout ce que l’humain a écrit sur la page blanche de son histoire. La nôtre, notre histoire d’humain. Faute de place, nous avons écrit sur les écrits des générations passé, et ce, de génération en génération. Résumant tous les actions posées pour réclamer l’égalité, la justice, le droit, la liberté, L’amour. Notre page blanche sursaturé d’ancre noir couler sur elle. Sur nous tous!
Noir saturé.
Il n'y a plus rien à ajouter. Que reste-t-il à dire de plus, que tout ce qui a déjà été dit ? Tout ce qui pouvait être conçu pour éveiller et élever la conscience humaine est depuis longtemps imprégné d’encre.
Le meurtre, commis publiquement, d'un homme noir s'est déroulé sous les yeux impuissants de témoins, muselés par le poids de l'autorité policière. J'ai le souffle court. Une gêne m'envahit. Une honte. Je me vois, malgré moi, associé à ma propre couleur de peau. Cette couleur qui porte le poids du bourreau, de l'inconscience, de cette soif insatiable de pouvoir et de domination. Je sens, à travers elle, le fardeau des erreurs de mes semblables, comme une coupable.
Je ne suis pas cette violence, ni cette haine ! Je ne suis pas ce mal qui persiste, et je ne connais personne à la peau claire qui peut être réduite à cette image. Ces énergies ne m'appartiennent pas !
Non ! Je suis de ceux qui bâtissent un monde meilleur. J'existe en tant que femme aimante d'un homme haïtien. Une femme parmi tant d'autres, qui a donné naissance à la génération de demain. Porteuse d'amour, d'espoir et d'unité. Mes enfants sont nés d'un amour complice, d'un désir partagé. Ils sont venus au monde dans l’énergie du droit d'aimer. Ils incarnent la réalisation du rêve des générations passées. Nés de parents de couleur différente libres d'aimer, libres de choisir
Noir du silence.
La page noire se dissipe en fumée. Ce mal sombre s'échappe de moi, par mes oreilles, par ma tête, ou peut-être ailleurs… mais il sort. Je ne suis pas cette noirceur. Je ne participe pas à ce mal ni même tous ceux que je connais. Je suis fâché, triste de ce qui arrive et qui se perdure. Je veux m’exprimer et je m’exprimerai dans un silence noir.
Bienvenue à ce vernissage qui se veut autant une évocation qu’une réflexion.
« Pages Noires » est une série photographique née de la douleur, de la colère, mais aussi de l'espoir. Ces images puissantes et émotionnelles, cherchent à capturer l’essence d’un moment où le monde s’est arrêté pour prendre conscience d’une réalité désuète qu’est le raciste. Le meurtre de George Floyd en mai 2020 a été une onde de choc qui a traversé les frontières, les cultures et les cœurs. Cet acte tragique a mis à nu des décennies, voire des siècles, d’injustice et de brutalité systémiques. En construisant ce vernissage, j’ai constaté que chaque photographie présente ici est un témoignage visuel d’unité, de support, d’honneur et de fierté. Les contrastes saisissants entre ombres et lumières dans ces images traduisent toute la complexité des émotions ressenties. Chaque regard capturé, chaque main levée raconte une histoire : celle d'une humanité réclamant justice certes mais également, elle expose une grande solidarité et un profond désir d’égalité. Ici, l'art devient une mémoire vivante, un cri silencieux mais assuré. Je vous invite à contempler ces images non seulement avec vos yeux, mais aussi avec votre âme. Laissezvous traverser par l'émotion qu'elles suscitent, et prenez un moment pour réfléchir à ce que nous avons réussi à devenir. Prenez un pas de recul pour comprendre que l’indignation a été mondial. Voyez comme moi que l’humanité ces transformé, elle a grandi en conscience. En nous indignant mondialement, nous avons écrit une page plus lumineuse. Car nous nous sommes rassemblés unis dans la compassion de l’autre.
Merci de votre présence et de votre sensibilité
Je veux m’exprimer et je m’exprimerai dans un silence noir.
Pages Noires





















Mot de fin de soirée
J’ai été encouragé à plusieur reprise d’exposer et de vous parler.
Mon message étaient important, disaient-ils
J’ai été heureuse de construire ce projet au dela de ma vision. Il était au départ qu’une émotion qui à demandé à s’exprimé, quand les mots lui à manqué. Cette émotion à proposé à qui veux bien, de laisser à chaqu’un la liberté de s’exprimer dans son silance. L’idée d’en faire plus qu’une image personnel à été proposé par une participante. Pour la nommé Melody Harver. Puis comme le poleine sur le dos d’une abeille, je dépossa insouciament cette idée dans l’oreille de Valérie Clio. Je ne connaissais pas les terres que je parcourais, ni en quelle fleurs le coeur étais fort. Je poursuit ma route en butinant d’autre, l’idée telle un polene égaré de sa fleur première, à réunis également Émmanuel Bonet à ce joindre nous. Lui aussi, participant des images de ce vernissage.
La pression restrictive des droits et liberté que nous avons subis en 2020 à enterré l’intention fragile. Bien que la terre ajoutait des couches année apres année, une graine semé, n’oubli pas de grandir dans l’obscurité. Elle était bien vivante, caché sous les couches de terre qui besais sur la noirceur de mes peurs. C’est images étaient ma naissance comme photographe indépendnte et surtout comme artiste assumé. J’ai pensé longtemps que les chouche de terre alourdissanient mes pensé, que j’en est oublia le cicle de la vie. Le soleil nourri et revien à tout les jour, tendi que la pluie, apprenuve. les grainent naissent dans la terre. Valérie Clio, tu as représenté la force de la lumière qui à su ancrée les racine de ce projet. Il à suffis d’un temps proposé par toi, 5 ans plus tard et d’un mois, judicieusement représentatif pour sortir de terre. Puis tout ses mi à grandir de facon intuitif. Tout comme le cheminement qui a réunis nos émotion sur image.
En construsant cette exposition, j’ai vue et revu chaqu’une de vos expression afin d’y composer une émotion représentative. Je me suis donnée la mission, de vous rejoindre dans un état d’esprit. Dans une longueur d’onde.
J’ai ressentis que nous n’avons plus rien à dire sur le raciste et jen resterai ainsi. Car les pages de ce livre sont imbibé d’ancre à ne plus rien n’y voir. Ce vernissage ma fais observé que nous avons créé l’exposition de nos émotions suite à une vague d’indignation mondiale . Quatre émotions selon mes yeux! Aujourd’hui, je me rend compte que j’ai réunis en images et en présence humane ces 4 émotion suivante: je vous invite a regarder autour de vous. Les image et les humain présent. Vous y retrouverez l’amour, la force, la solidarité et le plus lumineux de tous don je suis en joie de présenter, est la fièreté d’onoré. La fièreté d’onorer notre fièrté. La fièreté d’onoré d’être noir, la fièrté d’une mère d’être honoré de présenter toute la beauté de son/ses enfants métissé, La fierté d’être l’amie de notre amie et d’onoré d’être à ses coté dans la solidarité, la fièreté d’honorer l’homme pour qui nous somme la femme, La fièrté d’être le pere et la mère cette famille, la fièreté d’honoré notre support à l’indignation.
Je vois en ces image la force de la liberté. Nous nous sommes exposé librement et fièrement. Nous avion un message a exprimé dans un silance. Il est bon de se rappeler, que le silance est capable de parlé plus fort que la parole elle-meme.
Sur cette fin de soirée, je vous souhaite que notre vernissage rayonne à tout jamais par la force de la fièrté d’être unité. Exposons nous fièrement à ce monde en évolution d’amour.